compétence en biologie

Biologiste

2022

Nous expliquons ce qu'est la compétence en biologie, des exemples et ce qu'est la compétence apparente. Définition du mutualisme et de la prédation.

La compétition ne profite qu'à ses gagnants et condamne ses perdants.

Qu'est-ce que la compétence biologique ?

Dans la biologie, on parle de compétence, c'est-à-dire de compétence biologique, pour désigner un type particulier de relation entre êtres vivants, dans lequel les deux s'adaptent à la présence de l'autre en essayant d'obtenir le plus grand bénéfice des ressources disponibles, c'est-à-dire dans lequel les deux rivalisent pour le bénéfice, au lieu de collaborer pour le bien mutuel.

Ce type d'interaction peut se produire en termes de territoire, aliments, L'eau voire des couples fertiles à reproduire, soit entre individus d'un même espèce (intraspécifique) ou d'espèces différentes (extra spécifique).

Quoi qu'il en soit, ce dynamique La concurrence ne profite qu'à ses gagnants et condamne ses perdants à la subordination ou, à la longue, à l'extinction. Ce dernier est essentiel dans le évolution, puisque la pression exercée par le sélection naturelle Elle se déroule sous le principe de l'exclusion compétitive : les espèces adaptées survivent et se reproduisent, et celles peu ou pas du tout adaptées, en revanche, s'éteignent.

Ainsi, il existe différents types de compétences biologiques, telles que :

  • Concurrence par interférence. Un individu interfère, c'est-à-dire entrave, empêche le processus de alimentation, survie ou la reproduction d'un autre, à travers méthodes à partir de la violence. Cela se produit également lorsqu'un individu refuse une autre entrée à son habitat ou territoire.
  • Concurrence pour l'exploitation. Il s'agit d'une forme de compétition indirecte, qui se produit lorsqu'une ressource limitée et commune entre deux individus est le fruit d'une compétition, entraînant des bénéfices pour l'un et une rareté pour l'autre, qu'il s'agisse de nourriture, d'espace de vie ou de lumière solaire.
  • Concurrence apparente. Il se produit lorsque deux espèces sont la proie d'un prédateur commun et se disputent des zones exemptes de danger.

La concurrence peut aussi causer stratégies évolutive dans l'espèce, comme cela se produit lorsque l'une des deux espèces change de niche évolutive en présence d'un concurrent plus fort, s'adaptant à sa présence et garantissant sa survie.

Exemples de maîtrise de la biologie

Les chiens se disputent souvent leur territoire en le marquant avec de l'urine.

Voici quelques exemples simples de compétence biologique :

  • Les mâles de nombreuses espèces d'oiseaux portent un plumage de couleurs flashy, qu'ils utilisent lors d'une danse d'accouplement complexe. Et comme plusieurs mâles peuvent prétendre à la même femelle, ils doivent rivaliser pour elle, essayant de l'attirer avec leurs couleurs et mouvements, et ainsi empêcher les autres de se reproduire avec elle.
  • Si nous semons plusieurs les plantes dans la même cagnotte, on peut voir comment ils se disputent jour après jour l'accès au L'eau de l'arrosage et de la lumière du soleil, même si cela signifie que d'autres plantes vont se flétrir et se dessécher. La plante gagnante pourra pousser davantage, en prenant aux autres les ressources pour la photosynthèse.
  • Les les animaux Les chiens territoriaux, tels que les chiens, se disputent souvent leur territoire, le marquant fréquemment avec leur urine (et son odeur), et agressant également d'autres chiens, en particulier les mâles, qui pénètrent sur leur territoire sans autorisation. C'est la raison la plus courante de la confrontation de nos chiens dans la rue lorsque nous les promenons.

Concurrence apparente

Une compétition apparente a lieu entre les proies d'un même prédateur, et son nom est dû au fait que ses effets bénéfiques sur une espèce ne sont que temporaires. Ceci est expliqué comme suit : supposons qu'un prédateur (requin) peut se nourrir de deux espèces différentes (thon et dorade), et en choisit une à un moment donné (dorade). Cela signifierait un bénéfice apparent pour l'autre (le thon), qui s'est affranchi de son concurrent et peut donc se reproduire à sa place.

Cependant, lorsque le Ville De cette dernière espèce (thon) augmente, celle du prédateur (requin), qui dispose d'une nourriture abondante, et comme la population de la proie initialement dévorée (brème) est plus petite, le prédateur optera pour l'autre (thon) , équilibrer les populations. Donc, en fin de compte, la compétition entre eux n'était pas vraiment une compétition.

Mutualisme

Certains oiseaux mangent des tiques, des acariens, des champignons ou des algues sur le dos d'autres animaux.

Le mutualisme est une forme d'interaction biologique contraire à la logique de la compétition, puisque les deux espèces ou les deux individus profitent d'être apparentés. C'est une forme d'entraide et de réciprocité, proche de la symbiose, dans laquelle le organismes coopérer.

Un exemple simple de mutualisme est le tolérance montré par les rhinocéros, hippopotames et autres animaux massifs en présence de certains échassiers sur le dos. C'est parce que les oiseaux mangent des tiques, des acariens, champignons ou des algues qui peuvent pousser dans des régions inaccessibles de votre corps, leur rendant ainsi service en les nettoyant, tout en obtenant en même temps une source de nourriture facile et sûre.

Prédation

La prédation est la relation entre prédateurs et proies, c'est-à-dire dans lequel un organisme en chasse un autre, afin de consommer sa viande et ainsi s'en nourrir. C'est la façon habituelle de se nourrir animaux carnivores, par exemple, qui tient à distance la population de ses proies, évitant la surpopulation et préservant l'équilibre trophique, puisque les prédateurs sont toujours plus gros et donc moins abondants que les proies.

Les prédateurs, d'autre part, peuvent à leur tour être la proie d'autres prédateurs plus gros, transmettant la matière Oui énergie vers des niveaux trophiques supérieurs dans la pyramide alimentaire.

Autres relations interspécifiques

Le parasitisme se produit lorsqu'une espèce profite d'une autre.

D'autres relations interspécifiques importantes sont :

  • Parasitisme. Il se produit lorsqu'une espèce profite d'une autre, consommant ses substances corporelles ou l'utilisant à différentes étapes de son cycle de reproduction, mais causant des dommages non létaux dans le processus. Par exemple, c'est ce qui se passe lorsque les moustiques nous piquent pour se nourrir de notre sang.
  • Le commensalisme. Semblable au mutualisme, il ne nuit à aucun des intéressés, mais ne profite qu'à une seule espèce : l'autre est simplement indifférente.C'est ce qui arrive, par exemple, lorsqu'un animal se nourrit des déchets d'un autre, sans forcément lui rendre service, mais aussi sans lui faire de mal.
  • Symbiose. C'est un degré extrême de mutualisme, dans lequel les deux espèces bénéficiaires apprennent à vivre si étroitement l'une sur l'autre que cette relation devient essentielle à leur survie. L'exemple classique en est la formation des lichens : des unions physiques de champignons et d'algues, dans lesquelles l'un obtient de la nourriture et l'autre humidité.
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